Plan sexe sans tabou

Ce sont les profils de femmes les plus extrêmes, qui n’ont pas peur du danger, de la morale et la vertu. Voici les annonces de femmes, de couples échangistes qui cherchent des partenaires pour du sexe sans tabou. La sodomie, la double pénétration, les plans à 3, les gangbangs, les orgies, les plans de sexe exhib, le dogging, le voyeurisme, autant de pratiques qui peuvent sembler interdites et tabou pour la majorité des gens. Mais ces membres de notre site ne voient pas la sexualité de façon aussi guindée et coincée. Les pratiques les plus débridées, qui les font sortir de leur zone de confort et de leurs habitudes sexuelles, voilà ce qui les excite.
Peu importe leur âge, la femme sans tabou peut être la jeune étudiante précoce qui mate tellement de porno qu’elle veut goûter au fruit défendu. C’est aussi la cougar débridée, la cougar en rut qui sent les plus belles années lui échapper. Alors lancez vous si vous voulez sortir de votre sexualité conformiste et conventionnelle.

Du kamasutra aux pratiques SM

Lorsqu’on parle de sexe sans tabou, on peut repousser les limites le plus loin possible. Voilà pourquoi nos annonces présentent des profils pour qui la notion de tabou, d’interdits à braver, de barrières mentales peut varier selon un spectre très large. Les réseaux sociaux permettent à certains couples de découvrir, de rencontrer des partenaires originaux à la sexualité insolite qui les encouragent à explorer un pan de leur vie plus enfoui, de titiller leur inconscient. Les positions les plus acrobatiques du Kamasutra ( brouette thaïlandaise, petit pont, la Bête à deux têtes ) comme les pratiques les plus hardcore du BDSM ( Sado-Masochisme ) deviennent des objectifs et fantasmes à réaliser.

• Le femdom : la female domination, domination féminine où les rôles « naturels » homme/femme sont inversés. De plus en plus d’hommes acceptent de se faire dominer par une femme, pratiquent le pegging ( se faire enculer par un gode-ceinture, femme enculeuse )
• Le bondage : Pratique englobée dans le BDSM, consiste à l’attachement avec cordages. La femme sous contrainte ne doit subir aucune douleur. C’est un art de domination artistique et les maitres shibari doivent être expérimentés, voire certifiés pour avoir le droit de pratiquer. Mais le bondage, c’est aussi faire tomber le tabou des rapports humains. La soumission par la coercition est poussée à son paroxysme, via menottes, baillon, gag ball.